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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 21:38

 

Localisée Route des Pyrénées, Aubertin (à 11 km du centre de Gan)

Madame Chénaux est installée depuis 9 ans sur cette exploitation. Sa production n’est pas « bio » mais elle s’attache à utiliser le moins de produits chimiques possible.

 

CULTURES :

Arbustes à petits fruits (2000 m2) :

Framboisiers (variétés Willamette et Meeker)

Ronces (variété sans épine)

Rosiers (pour la confiture de cynorrhodon

Cassis

Groseillers

Arbres fruitiers :

pêchers de roussanne de monein. Une parcelle de la variété « campanulée » et l’autre de la variété « rosacée » (superficie 0,5 ha), qui se distinguent notamment par un décalage de quinze jours pour la fructification.

(pour les confitures) figuiers, abricotiers, pruniers, cerisiers, néfliers du japon

 

L’exploitation comprend également de la vigne (petit et gros Manseng : fruits destinés à la coopérative de Jurançon) et des noisetiers.

 

La taille des pêchers se fait en janvier. L’éclaircissage (suppression de certains fruits pour favoriser la croissance des autres) se fait au printemps, à la main.

 

Amendement :

Des engrais utilisables en agriculture biologique sont utilisés.

Au pied des arbustes à petits fruits ainsi qu’autour de chaque tronc d’arbre sont disposés des copeaux de BRF (bois raméal fragmenté) afin d’éviter le dessèchement du sol et de le régénérer.

 

Désherbage / tonte :

Aucun herbicide n’est employé. Le tour des arbres est désherbé par binage. Sur toute l’exploitation, la tonte de l’herbe est faite par des moutons en hiver (en l’absence de feuilles sur les cultures), mécaniquement le reste du temps.

 

Lutte contre les maladies et les parasites

Pour lutter contre la cloque du pêcher (maladie due à un champignon), la bouillie bordelaise est utilisée en l’absence de feuilles. Quand la feuille apparaît un pesticide est pulvérisé, jusqu’à 6 fois par an. Le produit de synthèse utilisé cette année n’a pas porté satisfaction (la cloque est quand même là) et ne sera pas utilisé l’an prochain.

Pour lutter contre la tordeuse orientale (chenille parasite), des dispositifs émettant des phéromones sont disposés dans le branchage (pour désorienter les papillons mâles et éviter l’accouplement).

 

TRANSFORMATION

Les fruits récoltés sont disposés dans un local réfrigéré. Un autre local est exclusivement dédié à la fabrication des confitures (baies, abricots, figues, prunes, cerises, nèfles) et nectars de pêche. Le sucre employé pour la fabrication des confitures et nectar est du sucre de canne certifié bio

 

COMMERCIALISATION

La production est écoulée sur les AMAP d’Arbus, Gan, Lescar, le marché de Lasseube (ainsi que plusieurs autres marchés en été lors de la récolte des pêches).

 

RAPPEL / INFORMATION AUX AMAPIENS : Mme Chenaux récupère les bocaux et bouteilles de jus de fruits préalablement nettoyés (la réutilisation dépense moins d’argent et d’énergie que le recyclage !).

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 10:16

 

Visite effectuée le 15/10/2011

Historique de la pisciculture

Située sur la commune de Louvie Juzon, en bordure du Bazest en amont du hameau de Pédehourat, cette pisciculture a été construite sur les ruines d’un établissement thermal (rasé par les allemands lors de la seconde guerre mondiale) et gérée par 2 générations de la même famille. Elle produisait plus de 60 t / an et comptait 5 employés. Le fils de la génération suivante ne souhaitant pas la reprendre, elle a été louée pendant 9 ans à la Fédération Départementale pour la Pêche et la Protection des Milieux Aquatiques pour l’alevinage et l’empoissonnement des rivières et notamment le repeuplement des saumons, puis mise en vente en 2005.

Le producteur

Romain Veau, 25 ans, est titulaire d’un BTSA production aquacole effectué au pays basque et possède le statut de jeune agriculteur. Il a effectué des stages dans des piscicultures uniquement en mode de production extensif.

Il a acquis la propriété qui s’étale sur 5 ha dont 3800 mde bassins et qui se situe dans le massif du moulle de Jaout (site classé Natura2000 pour la présence de la loutre, du desman, et de chauve souris). Il est installé officiellement depuis le 15 juin 2011, après des difficultés pour l’obtention de l’autorisation d’exploiter cette pisciculture à cause du débit d’eau prélevée au milieu (suite à l’appui d’un sénateur, une étude récente a été effectuée par l’administration et a abouti à l’abaissement du débit réservé – débit minimal qui doit circuler dans la rivière pour son fonctionnement –de 100 à 60 L/s). Il a ainsi obtenu l’autorisation de produire 20 tonnes de poisson par an.

 

bassins extérieursExploitation de la pisciculture

Aménagements existants :

- 60 bassins (1/3 en eau actuellement), canaux d’alimentation


- un local utilisé pour l’écloserie


- un local non utilisé pour l’instant (futur atelier de transformation)

 

Elevage des poissons :

Trois espèces de salmonidés sont élevés actuellement :


  • - truite Arc en ciel (espèce originaire d’Amérique du Nord), truite « classique » qui se reproduit quasi uniquement en pisciculture (besoin d’eau froide) et se développe plus rapidement que les suivantes (atteint 250g en 12 mois)
  • - truite Fario des Pyrénées, autochtone, atteint 250 g en 20-24 mois, plus goûtue

  • - omble de fontaine, appelé aussi saumon des fontaines, apprécié pour son goût plus fin

Les truites ont une chair blanches, peu rosée car sans adjonction de carotène.

 

La densité des poissons est de 10 à 15 kg par m3 (elle est de 30 maximum dans le cahier des charges du label AB, et de 120 kg/m3 en pisciculture intensive)

 

L’élevage comprend tout le cycle, de l’œuf au poisson commercialisable. Les géniteurs sont sélectionnés et élevés dans des bassins séparés. Une reproduction par an suffit. La ponte s’effectue de novembre à janvier. 2000 œufs par kg de femelle. Les œufs embryonnés sont disposés dans des clayettes immergées, puis quand ils nagent (à 6 – 7 semaines) les alevins sont transférés dans les auges de l’écloserie. Au stade de truitelles, elles sont transférées dans les bassins extérieurs.

 

Pour le démarrage de la pisciculture, des œufs et des truitelles ont été acquises, à la pisciculture fédérale de Cauterêts pour la truite Fario pyrénéenne.

nurserie

Apport en eau

Trois ressources approvisionnent les bassins de la pisciculture et ont en commun une qualité très favorable à l’élevage de salmonidés (température et teneur en oxygène adaptés) :

  • - une source d’eau calcaire présentant une température constante de 13°C toute l’année, très favorable à l’élevage des salmonidés

  • - une prise d’eau en rivière, dont la température monte à 16-18°C l’été

  • - une résurgence en contre bas des premiers bassins, qui alimente la deuxième partie de bassins située 200 m en aval

Toute l’eau circule gravitairement (sans pompe), elle alimente les bassins en première eau et est renouvelée une fois par heure. Le débit total prélevé pour l’exploitation (et restitué en aval) est de 40 à50 L/s.

 

Les paramètres pH, T°C et O2 sont contrôlés quotidiennement.

Des bilans de contrôle de la qualité de l’eau en entrée et en sortie de la pisciculture sont effectués tous les 3 mois par le laboratoire départemental, ainsi qu’un bilan plus complet tous les 6 mois. Pour l’instant ils ne montrent pas de pollution compte tenu de la faible densité de poissons.

 

Alimentation des poissons

L’aliment utilisé (marque BIOMAR) est un aliment constitué de :

  • une base végétale (80%) : soja bio, tourteaux de maïs et de blé

  • 20% d’huile de poissons obtenue à partir de déchets de pêche de Bretagne

 Après le sevrage, les alevins sont nourris avec une préparation adaptée comprenant plus de protéines ainsi que des probiotiques (bactéries facilitant le fonctionnement de l’appareil digestif)

Les aliments sont distribués à la main.

 

Aspect sanitaire

Pas de vaccination. En cas de maladie, produits utilisés : eau oxygénée, eau de javel (mais pas introduits dans les bassins). Les bassins sont nettoyés au karcher.

Romain Veau adhère au GDSA : groupe de défense sanitaire applicable au milieu aquacole qui permet l’apport de vétérinaires et un appui pour obtenir l’agrément sanitaire.

 

Débroussaillage

grâce à 3 ânes, 10 brebis et 10 chèvres

 

Labellisation

Romain Veau ne souhaite pas être obtenir le label agriculture biologique qu’il ne trouve pas suffisamment exigeant (notamment sur la densité de poissons). En revanche il souhaite travailler sur son propre cahier des charges avec le CIVAM Pays Basque.

 

Débouchés

4 AMAP sont actuellement approvisionnées (Gelos, Louvie-Juzon, Ogeu, Oloron), 6 autres sont prévues. A terme un maximum de 15 AMAP peuvent théoriquement être approvisionnés.

2 marchés (peu rentables à ce jour)

Une forte demande pour des produits transformés et notamment pour des produits à congeler (société socamed)

 

 

En projet…

Elevage de Cristivomer (autre salmonidé) et d’écrevisses

Aménagement d’un atelier de transformation au rez de chaussée d’un bâtiment existant afin de produire de la truite fumée, des rillettes…

Aménagement de bassins de pêche touristique (creusement déjà effectué)

Un gîte (agrément Bienvenue à la ferme obtenu)

 

 

Produits et tarifs proposés

Livraison une fois par mois (probablement dernière semaine du mois) de poissons entiers (non vidés), de 180 à 220 g / pièce, abattus 15 minutes avant la livraison.

 

Prix à l'unité : Saumon fontaine 2.90 €

                     Truite fario          2.50 €

                     Truite arc en ciel 1.70 €

Conditionnement : par lot de deux poissons.

Pour les contrats : paiement possible en 2 fois, voire en 3 fois si le montant est supérieur à 150€

 

Dégustation prévue à la distribution du 9 novembre

 

Coordonnées du pisciculteur : Romain Veau, Chemin de Durieu 64260 Louvie-Juzon

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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 09:40
  L' exploitation est située sur la commune de BUROS, elle est exploitée par
la famille depuis 5 générations.
  Elle comprend 59 ha sur lesquels nous cultivons du maïs (environ 48 ha) le
reste étant en jachère, en prairie permanente mis à la disposition d' un
jeune agriculteur de la commune, producteur en viande , et des bois.

 

  Depuis 1998 l' exploitation a mis en place des ateliers de poules pondeuses
plein air.
 1 avril 1998 : un atelier de 6300 poules
  Novembre 1999 : deuxième atelier de 6300 poules.
  Les oeufs, dans un premier temps étaient achetés par un centre de
conditionnement (la ferme du Pont Long) qui en assurait la commercialisation.

  En 2007-2008 nous nous sommes mis en relation avec des amaps (Billère,
Jurançon) ainsi qu' avec le Civam et nous avons créé un atelier de pondeuses
spécifique destiné aux AMAP.

 

  Nous livrons à ce jour 9 AMAPS.
  En 2011 nous avons obtenu la certification bio avec un atelier de 3800
poules pondeuses et créé son centre de conditionnement.

 

  Nos pondeuses bio sont nourries avec un aliment bio dont la fabrique est
dans le GERS.
  
  La FERME AVICOLE REY commercialise l' ensemble de sa production . 
  Elle emploie à ce jour 7 personnes à temps plein plus votre producteur.
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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 09:31

 

ALIMENTATION des POULETS :

1 Céréales :

Démarrage :

Rajout de 20% dans les céréales base, d’aliment sans anticoncidien, pendant 2 à 3 semaines. Sac tracé de chez Sanders. Mélange fait manuellement à la maison, avec bétonnière électrique.

 

Ensuite : Les poulets sont alimentés avec les céréales de base, fournies par les Ets Camus d’Oloron : Maïs classe A 80 % Garanti sans OGM (voir charte de qualité) production locale ; Tourteaux de soja bio non-OGM 15% ; Trititicale (céréale genre blé) 5%.

                              Terrain pentu, terre non adaptée, donc céréales non produites sur l’exploitation.

Le passage à des céréales certifiées bio entraînerait une augmentation du prix du poulet de +3 € au Kg.

 

2 Pacage herbeux et sportif :

40% de l’alimentation des poulets restent le pacage de l’herbe du coteau, et le grattage au sol.

Les prairies ne reçoivent aucun engrais chimique, aucun désherbant chimique,

Dans certains parcs, sont plantés des arbres fruitiers ( Figuiers ; Pêchers ; Pruniers ), qui servent entièrement à l’alimentation des poulets.

Dans d’autres, des ronciers et des hautes herbes servent d’ombrage, et d’abri aux prédateurs ( Buses et Corbeaux… ).

 

 

 

 

SUIVI SANITAIRE :

 

Pas d’utilisation d’antibiotique que du préventif

Pendant 10 ans, vinaigre et sel, remplacés, depuis avril 2010 par des huiles essentielles bio nature : AND plus (voir étiquette).

 

 

Le fournisseur de poussins serait très intéressé par une visite sur Rdv.

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 08:50

 

A ce jour, J.P Avelin a 180 contrats répartis sur les amap de Gelos, Soumoulou, Navarrenx, Pau Clermont et Gan.

Il est en discussion avec les amap de Jurançon et Pau pépinière.

 

L’entrée dans le circuit amap a permis à Jean-Paul Avelin d’améliorer sa trésorerie, il a notamment investit dans des palox (caisses) étanches qui améliorent grandement la conservation et la qualité gustative des fruits.

La meilleur santé de l’exploitation a permis également l’affiliation de Mme Avelin à la MSA en tant que co-exploitante.

 

A plusieurs reprises, le producteur nous a affirmé sa volonté de passer en bio si le circuit amap pouvait « absorber »la majorité de sa production ; pour l’instant une partie de son circuit de distribution demande du fruit standard.

 

Notre visite avait pour but de faire le bilan de l’essai proposé (parcelle test en 2010 moins traitée).

Pour le producteur , le résultat n’est pas satisfaisant ; trop forte pression pour la tavelure et le carpocapse.

Depuis un an, Jean-Paul Avelin s’est inscrit dans un dispositif de certification AREA (Agriculture Respectueuse de l’Environnement en Aquitaine) visant à réduire l’utilisation de pesticide. Démarche menée sur cinq ans incluant un suivi technique du verger, des formations et des visites d’exploitation en bio. Chaque année un bilan est effectué et mesure la progression.

Le 1er bilan annuel sera bientôt à notre disposition (nous avons consulté la version manuscrite), il comprend un volet sur les substances à risques et les produits à supprimer, un volet lutte biologique ou autres moyens de lutte alternatifs.

 

La certification AREA nous apparaît un moyen clair et transparent pour voir l’évolution des pratiques de l’exploitation et une transition en douceur vers des pratiques qui correspondent à nos attentes.

 

( Si le dispositif AREA vous intéresse vous pouvez en demander le détail sur amapdegan@laposte.net  )

 

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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 10:25

 

Visite de la ferme Cazenave , production de fromage de vaches

Le 02 octobre 2010

 

GAEC Cazenave Loustaut

Sévignac Merac

 

Historique de l’exploitation :

1981 - Installation des parents Jean-Luc et Elisabeth Cazenave (reprise de l’exploitation familiale)

2001 – création du GAEC installation de Sébastien

2010 – installation de Florent avec projet d’atelier de fabrication de fromages.

 

L’exploitation :

80 hectares dont la moitié en location : 20 hectares en maïs, 60 hectares en prairie (pâturages et foins)

Le cheptel :

50 Blondes d’aquitaine (viande et vente des veaux à 4 mois)

50 vaches laitières (holstein et montbeliarde )

 

 

Présentation de l'activité :

Commercialisation du lait dans une laiterie industrielle (quota annuel de 390 000 litres de lait)

Avec les difficultés rencontrées par les producteurs de lait (prix, quota, grève du lait en 2009)

la famille Cazenave a souhaité orienter sa production vers la vente au détail pour une partie de la production laitière; en 2010 construction d’un laboratoire et fabrication des premiers fromages (depuis le 10 Aout).

 

Nourriture du troupeau :

Le matin distribution à l’auge d’un aliment composé de maïs ensilage, de luzerne et de paille

L’après-midi pâturage.

Apport d’un complément azoté (2kg par vache par jour) sous forme de tourteaux de tournesol et soja (pas de garantie sur la présence ou non d’OGM)

 

160 litres de lait par jour sont utilisés pour la fabrication de fromage soit 2 fromages de 5 kg et 6 fromages de 1 kg.

Après la fabrication, les fromages sont stockés dans un saloir, pendant 8 jours ils sont salés puis frottés et retournés chaque jour .

Au bout de trois mois le fromage est mis en vente.

Un magasin de vente vient d’être construit pour effectuer la vente à la ferme.

 

Projet :

Suite à la rencontre d’éleveurs laitiers bio en Bretagne, la famille Cazenave est en train d’étudier la possibilité de mettre l’exploitation en bio. Une rencontre avec le civam est prévue prochainement, des visites d’exploitations en pays Basque sont également prévues.

 

Produit proposé :

Fromage de vache : Part de 500gr ou 1 kg : 8 € le kg (petit fromage)

Fromage entier de 1 kg : 10 € le kg ( fromage de 5kg partagé)

Possibilité de livrer toute l’année

Fréquence : toutes les trois semaines comme le fromage de brebis .

 

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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 10:22

 

Monsieur Roth Maurice à St Colome, boulanger fabriquant de pains biologiques.

 

Visite 9 Novembre 2010

 

 

Père de 3 enfants 8 ,12 ,et 13 ans, sa femme travaille à Tarbes au Parc National des Pyrénées.

Installé à St Colome en 2008; obligé d'opérer une reconversion, il apprend le métier de boulanger et

se lance dans la fabrication de pains bio en juin 2009, dans un four d'un mètre carré installé dans le séjour de la maison; le fournil pour la préparation se trouve à l'extérieur de la maison;

 

 

Nous avons assisté à toutes les étapes de fabrication .

1) Chauffage du four au feu de bois

2) Préparation des pâtes de blés de différentes moutures, avec pour certaines adjonction des graines:

tournesol, lin, pavot, sésame .

3) Pétrissage mécanique des pâtes,

4) Pesage et confection des boules.

5) Enfournement des pains à la pelle pour 45mn de cuisson, la température du four atteignant les 250°.

Les pains sont uniquement au levain, fabriqués à partir de la souche, donnant toujours les qualités égalent à la monté des pâtes. « La souche étant comme la mère du vinaigre »

 

Actuellement ses points de vente sont:

  • Le mercredi sur le marché à Gan

  • Le mercredi soir à l'Amap de Louvie-Juzon 13 contrats

  • Le vendredi à St Colome

  • Le samedi sur le marché de Laruns

Il fournit et livre des particuliers toute les semaines.

 

Il a la licence Agriculture biologique, les pains proposés sont tous certifiés AB .

Suite à une rencontre avec le CIVAM, il trouve:

Un paysan de blé « Variétés anciennes » AB à Sauveterre de Béarn.

Un meunier AB à Saint-Pé-de-Léren,qui peut transformer  les blés variétés anciennes  en farine complète T150. Ce meunier, dont les moutures se font sur cylindres acier, a pour objectif de remettre en marche ses deux meules de pierre, la qualité gustative s'en trouvant largement augmentée.

 

Dans ses objectifs, s'il peut obtenir des contrats d'amap, il pourrait s'engager par des accords triparties «  boulanger, paysan ,meunier » sur conseils et soutien du CIVAM, et obtenir un coût d'achat des farines et des moutures moins élevées, et peut-être répercuter une baisse du prix de son pain.

 

Actuellement, sa production lui permet de rentrer dans ses frais, pas plus.

Pour obtenir un SMIG, ce qu'il souhaite, il faut qu'il double ses actuelles ventes de pains.

Son projet d'installation d'un four plus grand est en bonne voie : il souhaiterait le monter en décembre et faire une extension du fournil en janvier.

Toutes les étapes de fabrication se feraient sur le même lieu : il réaliserait un gain de temps important, une économie dans les prix du bois, et aussi une économie d'énergie.

 

Mr Roth se propose de venir faire une dégustation sur notre Amap avec les pains qu'il s'engagerait à fournir, dans ces prix:

Pain blé bise T80 : 6€ le kg en 1kg ou 500g;

Pain blé complet sur variétés anciennes T 150 : 6€ le kg en 1kg ou 500g

Pain aux graines, tournesol, sésame, pavot, lin. T80 : 7,50 le kg en 440g

Pain Meteil, blé seigle pour moitié : 6€ le kg en 1 kg ou 500g.

 

 

Il s'engage à être présent à la livraison une fois sur deux, et livrerait son pain dans l'après-midi du mercredi aux personnes qui accepteraient de le porter à la distribution.

La raison en est simple, il fournirait deux Amap le même jour à la même heure.

 

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 21:31
Cher tous,
1- Pour cet hiver , voici notre gamme
Poireaux, carottes, panais ( tres peu car mauvaise germination), choux blancs, chou frise, chou rouge, brocolis, chou chinois et un peu de bruxelle, chou fleur , chou romanesco, epinard (salut vincent), mache, roquette, chou rave printemps, betterave, crapaudine ( ha-ha), radis, cresson, salades, blettes, navets, radis noir, rutabaga, rhubarbe ( faut-il en faire un contrat à 3 euros le kg), celeri branche, celeri rave, cardons , citrouille, potirron. Peut-etre un de plus avec un oubli, pardon!!!!
Avez-vous aimé le patisson?
 
2- Je plante le cardon début mai, je commande mes plants en décembre. Faut-il continuer?
 
3- 50 % de l'exploitation est en bio certifié
    50 % en conversion 2ième année jusqu'à avril 2011.
     Toutes les cultures sont cultivées en bio ainsi que le plant et la semence (controle d'Ecocert ).
 
4- Depuis 2 ans, les produits sont au meme prix , exception de la blette qui a baissé pourquoi ?
 
   a) Nous structurons de mieux en mieux notre exploitation
   b) L'experience professionnelle nous permet de glisser de nouvelles cultures en plus, sans perturber l'équilibre de fonctionnement.
   c) 3 embauches de plus en février 2010 en CDI. Elles ont été crées pour faire des doublures dans tous les secteurs de production.
   d) Ceci permet une perpetuelle dynamique face aux aléas climatiques, maladies, congés....
FANNY 20 ans, elle a fait tous ses stages chez nous du BEPA au BAC PRO ( production- vente sur les marchès  de détail).
FERNANDO 44 ans employé au départ au poste d'exécutant, il progresse vite et mérite que l'on s'interesse  à lui.
CHRISTIAN 52 ans ancien agriculteur ( production de lait) à 1/3 temps.
 Il a été exproprié par le pole aéronautique de turboméca ( pour rien je dirai) qui avoisine mon exploitation ( j'aurai donc des industries? à coté de mes salades? ).
 Il travaille en équipe chez un sous-traitant de turbo. Il est chez nous doublure tractoriste, mécano ( l'homme de toutes les situations).
 
5- Seul le poireau verra une augmentation de l'ordre de 15%. Pourquoi l'été il est très difficile de tout faire. On achéte le plant bio en vendée . Il coute très cher . Il faut savoir que nous avons fait 1,5 HA de choux, 1HA de poireaux, 1 HA de betteraves , radis noirs , navet et rutabaga et 60ARE de carottes, tout cela sans desherbant. Voilà pourquoi 1 des produits monte et pas les autres car nous avons réussi à tout faire suivre plus correctement ( je croise les doigts pour la mouche de la carotte).
 
A bientot
j.m  LARQUE
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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 18:00

Fruits de saison : sarl Les Vergers d’Escouneix à St Faust  Jean-Paul et Marie-Claire AVELIN


Panier composé de fruits de saison (voir calendrier de production)

- En fonction des fruits proposés le panier sera plus ou moins important (comme pour les légumes) Jean-Paul et Marie-Claire Avelin exploitent 12 ha de vergers à St Faust

5 Ha de pêches et brugnons, 5 Ha de pommes, 1 Ha de poires, ½ Ha de cerises

½ Ha de figues, coings, nashi , prunes, kiwis, abricots, amandes, sharones(kaki)

Fruits de coteaux (340m d’altitude) avec vue sur les Pyrénées

 

Période de production :

- Cerises : début juin à mi-juillet

- Brugnons : mi-mai à mi-septembre

- Pêches : fin juin à fin aout

- Pommes, poires, prunes, figues, nashi à partir de fin aout

 

Méthode de production :

- agriculture raisonnée : J.P Avelin fait le tour de son verger deux fois par semaine et vérifie la pression des parasites et des maladies sur la végétation, il ne traite qu’en cas de besoin. Il privilégie la lutte intégré (prédateur naturel) et ces traitements respectent cette faune.

- les fruits sont cueillis maximum 4 jours avant la vente, (7 passages pour la récolte)

- les faibles rendements (15T/Ha pour les pommes) donnent une très bonne qualité gustative

- Pas de désherbage chimique (fauchage/mulching)

- Pas d’arrosage

 

Les contrats

- fruits d’été (juin à septembre) panier à 8 € toutes les semaines ou tous les quinze jours

- fruits d’automne  (pommes, poires, kiwis) panier à 8 ou 12 € tous les quinze jours

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10 octobre 2009 6 10 /10 /octobre /2009 22:01
L’élevage de poules pondeuses est constitué de 2 ateliers de 6500 poules chacun (soit 13000 poules au total). Chaque atelier est constitué d’un bâtiment poulailler, et de 3 hectares de terrain clôturé où les poules circulent en liberté en plein air.

Mode de production :

Nourriture : mélange maïs / blé / Soja / oligo-éléments. L’aliment est acheté à l’extérieur, certifié non-OGM, mais pas bio. A compter de 2010, les poules seront nourries par un aliment fabriqué sur l’exploitation à partir du maïs et du blé produit sur place, et de soja provenant d’une filière régionale.

L’exploitation produit également du maïs et du blé, en mode d’exploitation dit « raisonné ». Jusqu’à présent, les récoltes sont vendues en coopératives, car l’exploitation ne possède pas les équipements nécessaires à la fabrication des aliments des poules à partir du maïs produit.


L’exploitant a décidé d’investir dans un bâtiment et les équipements nécessaires à la transformation de ses propres récoltes en aliments pour les poules. Le dispositif sera constitué de silos de stockage (capacité 600 tonnes, pour une production totale de 500 tonnes/an), de séchage, et de broyeurs/mélangeurs pour produire l’aliment et doser les proportions. Ce système sera opérationnel pour 2010, et représente un investissement important pour l’exploitation, qui deviendra alors totalement autonome pour la nourriture des poules.

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